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L’I.A.E. C’EST QUOI ?
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Être âgé de moins de 26 ans
Bénéficier du R.S.A. (Revenu de Solidarité Active) ou de l’A.S.S. (Allocation Solidarité Spécifique)
Être demandeur d’emploi de longue durée
Être reconnu RQTH (Reconnaissance de la Qualité Travailleur Handicapé)
Avoir plus de 50 ans
Résider dans des quartiers prioritaires de la ville certifiés
Q.P.V. (Quartier Prioritaire de la Politique de la Ville)
Être en difficulté sociale
Apparu officieusement dans les années 60 puis inscrit dans le code du travail en 1998, les structures habilitées à l’I.A.E. permettent d’accompagner les personnes éloignées du marché de l’emploi pour des raisons professionnelles ou sociales.
L’objectif est de favoriser une meilleure insertion dans la société et de permettre un retour à l’emploi durable en proposant un suivi sociale et professionnel, des formations, des ateliers, des missions ou des contrats de travail spécifiques.
En 2019, près de 4 000 structures étaient habilitées à l’Insertion par l’Activité Économique en France. Il peut s’agir d’Ateliers et Chantiers d’Insertion (A.C.I.), d’Entreprises d’Insertion (E.I.) ou, comme OPTIM, d’Associations Intermédiaires (A.I.) ou d’Entreprises de Travail Temporaire d’Insertion (E.T.T.I.).
Le parcours I.A.E. permet aux personnes en difficultés de se reconnecter, gagner en confiance, se sentir utile et apprendre de nouvelles choses. Avec OPTIM, plus de 70% des parcours ont une sortie positive avec un contrat de travail en CDD ou CDI ou en formation plus poussée (contre 55% au national).
Un parcours sur mesure
L’orientation par les organismes d’état vers la structure la plus adaptée
L’accueil et l’écoute des personnes, leur situation, leurs besoins, leurs envies
La mise à niveau à travers des formations ad hoc ou encore de ateliers de savoir-faire, de savoir-être, de langues
La montée en compétences
L’accompagnement en continu tant au plan personnel que social et professionnel
La réflexion permanente autour du projet professionnel
La recherche d’un emploi
Être âgé de moins de 26 ans
Bénéficier du R.S.A. (Revenu de Solidarité Active) ou de l’A.S.S. (Allocation Solidarité Spécifique)
Être demandeur d’emploi de longue durée
Être reconnu RQTH (Reconnaissance de la Qualité Travailleur Handicapé)
Avoir plus de 50 ans
Résider dans des quartiers prioritaires de la ville certifiés
Q.P.V. (Quartier Prioritaire de la Politique de la Ville)
Être en difficulté sociale
Apparu officieusement dans les années 60 puis inscrit dans le code du travail en 1998, les structures habilitées à l’I.A.E. permettent d’accompagner les personnes éloignées du marché de l’emploi pour des raisons professionnelles ou sociales.
L’objectif est de favoriser une meilleure insertion dans la société et de permettre un retour à l’emploi durable en proposant un suivi sociale et professionnel, des formations, des ateliers, des missions ou des contrats de travail spécifiques.
En 2019, près de 4 000 structures étaient habilitées à l’Insertion par l’Activité Économique en France. Il peut s’agir d’Ateliers et Chantiers d’Insertion (A.C.I.), d’Entreprises d’Insertion (E.I.) ou, comme OPTIM, d’Associations Intermédiaires (A.I.) ou d’Entreprises de Travail Temporaire d’Insertion (E.T.T.I.).
Le parcours I.A.E. permet aux personnes en difficultés de se reconnecter, gagner en confiance, se sentir utile et apprendre de nouvelles choses. Avec OPTIM, plus de 70% des parcours ont une sortie positive avec un contrat de travail en CDD ou CDI ou en formation plus poussée (contre 55% au national).
Un parcours sur mesure
L’orientation par les organismes d’état vers la structure la plus adaptée
L’accueil et l’écoute des personnes, leur situation, leurs besoins, leurs envies
La mise à niveau à travers des formations ad hoc ou encore de ateliers de savoir-faire, de savoir-être, de langues
La montée en compétences
L’accompagnement en continu tant au plan personnel que social et professionnel
La réflexion permanente autour du projet professionnel
La recherche d’un emploi
Pour lutter contre le chômage et l’exclusion, des clauses sociales peuvent être imposées dans les appels d’offres des marchés publics ou privés. Ainsi, les entreprises candidates doivent
obligatoirement intégrer dans leurs propositions le recrutement de personnes en situation d’insertion professionnelle, à l’image de celles qui sont accompagnées par OPTIM.
Ces clauses sont également l’une des solutions pour répondre aux difficultés de recrutement dans certains secteurs, comme le bâtiment par exemple.
Elles se présentent, notamment, sous la forme d’un volume d’heures ou d’un pourcentage de l’effectif sous contrat d’insertion.
Bon à savoir !
Pour que le recours aux clauses sociales soit plus efficace et plus fréquemment intégré aux appels d’offres, des facilitateurs de clauses sociales sont sollicités pour accompagner les donneurs d’ordre dans la mise en place et le suivi de
cette clause. OPTIM est en contact permanent avec les facilitateurs d’Ile-de-France pour répondre efficacement aux attentes et besoins de ces marchés.
Bon à savoir !
Pour que le recours aux clauses sociales soit plus efficace et plus fréquemment intégré aux appels d’offres, des facilitateurs de clauses sociales sont sollicités pour accompagner les donneurs d’ordre dans la mise en place et le suivi de
cette clause. OPTIM est en contact permanent avec les facilitateurs d’Ile-de-France pour répondre efficacement aux attentes et besoins de ces marchés.
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